Amettes

Circuit Sentier de la Coqueline

Circuit aménagé par la Communauté Artois-Lys
Une portion du circuit est en parfaite harmonie avec une petite rivière nommée "la Coqueline" qui prend sa source à Bailleul les Pernes.
Le circuit peut être parcouru en famille, sans grande difficulté il faut quand même prévoir de bonnes chaussures étanches.

Profil et coordonnées du circuit:
Circuit Sentier de la Coqueline - Amettes
Le parcours du circuit =  11km - 3h
Alt mini =  73 m - Alt maxi =  126 m
Dénivelé positif =  180 m - Dénivelé négatif =  184 m
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Départ place de la mairie d'Amettes
Longitude = 2° 23' 32,23" E (2.393379°)
Latitude = 50° 31' 47,29" N (50.529773°)
Altitude =  85 métres
Votre itinéraire jusqu'au point départ

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Calvaires

Circuit Sentier de la Coqueline

Départ : parking de la place de la Mairie d'Amettes

1 - Sur la place, dirigez vous à droite en sortant du parking

2 - Arrivez au calvaire prenez le chemin à droite

3 - Après la ferme vous longez un cours d'eau. Prenez à droite en direction de Nédon

4 - Prenez la route à droite.

5 - Prenez la première route à droite puis la première à droite

6 - Traversez encore un chemin, puis tournez 2 fois à droite


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Site Web de la ville
Amettes

Niché entre les cours d’eau de la Nave et de la Coqueline, au cœur des contreforts d’Artois, Amettes est un petit bourg agricole de 474 habitants, limitrophe d’Ames et situé au Nord-Ouest d’Auchel, son ex chef-lieu de canton. Associé à la Communauté Artois-Lys, ce village est traversé par l’ancienne voie romaine, dite chaussée Brunehaut, aujourd’hui route départementale et par de nombreux chemins de randonnée...

Patrie de Saint Benoît-Joseph Labre, qui y est né en 1748, Amettes est le siège d’un pèlerinage très fréquenté qui a lieu en Juillet. On y vénère la maison natale du saint, que précède un chemin de croix monumental, et l’église du XVIe siècle abrite, outre un beau mobilier du XVIIIe siècle et des œuvres d’art contemporaines, des objets lui ayant appartenu.
Tiré du dictionnaire du Nord Pas de Calais - Larousse




Patrimoine religieux
Eglise St Sulpice

L'église Saint Sulpice est à l'origine une chapelle fondée en 1145. Elle devient paroisse en 1230. La tour occidentale date de 1573. Après la béatification de Saint Benoit Labre en 1860, l’église fut agrandie et bénie le 16 juin 1864...
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L’édifice est surmonté d’un clocher d’une hauteur de 40 mètres dont la haute et fine flèche en croix surplombe et domine la vallée de la Nave. L’église abrite un mobilier du 18ème siècle ainsi que les reliques de Saint Benoît Labre A votre gauche en entrant, sous le clocher, la châsse de Benoît attire le regard. Sa statue couchée est posée sur la paille où il est mort à Rome en 1783. Autour de la châsse, vous voyez les reliques, témoins de Benoît en son temps. Vous voyez aussi quatre tableaux plus modernes qui aident à comprendre le message de Benoît La grande nef était l'église du temps de Benoît. Il a été baptisé ici le lendemenain de sa naissance, le 27 mars 1748. Le baptistère est toujours là, témoin fidèle du don de Dieu à l'un de ses enfants. Tout au long des murs, 14 stations du chemin de Vie de Benoît : d'Amettes à Rome, de son enfance à sa vie itinérante, de sa famille toute simple à la notoriété du saint. Au bout de la nef, à gauche, une petite chapelle a été aménagée en un lieu de prière et de culture de la foi. Des textes de prière sont proposés. En face, une autre petite chapelle, discrète, favorise l'accueil et les confessions. Un grand rideau sépare pendant l'hiver la nef ancienne et la partie la plus récente de l'église. Au dessus - côté autel - une fresque représente Benoît accueilli au ciel. Cette partie, surtout consacré au culte fut construite à partir de 1860, date de la béatification de Benoît. Au fond, à gauche, est placé un très ancien et très beau confessionnal. Devant, toujours à gauche, un autel de la même époque; c'était le le Maître Autel du temps de Benoît. Une affiche nous dit que Benoît «a servi la Messe des milliers de fois à cet autel» qui, à cette époque, se trouvait dans la grande nef.
Dans le choeur, on observe trois choses :
Les vitraux qui datent de 1975 et retracent la vie de Benoît. Une notice les explique.
Le grand Christ fixé sur une croix de bois que des pèlerins de Jérusalem ramenèrent à Amettes.
L'autel forgé par un Maître ferronnier d'Amettes. Sur la droite, l'autel du Saint Sacrement où on vient souvent prier. Près de la sortie, une chaire en bois vers laquelle Benoît s'est souvent tourné pour écouter les prédications. Sur l'un des murs de l'église, on retrouve une relique quelque peu singulière : un morceau de bois provenant du lit de Benoît. Sur un document qui l'accompagne, on peut y lire ceci :
Ce morceau de bois provient de la grande planche extérieure du lit qu'occupait St Benoît dans la chambrette bien connue.
Au cours du 19ème siècle, un évêque d'Arras remit cette planche au comte de Nedonchel «en témoignage de très grande reconnaissance». Ce dernier en fit quatre parts dont celle-ci qu'il envoya au carmel de Tournai (Belgique) où sa fille était religieuse. Lors de la fermeture du Carmel, cette relique fut confiée à la paroisse voisine d'Hornu qui, à son tour, l'a remise au pèlerinage d'Amettes au cours de la messe du dimanche 20 mars 1994. En 2009, une nouvelle statue de saint Benoît Labre a été installée dans l'église Saint-Sulpice. Cette statue provient de la citadelle d'Arras, où elle a été retrouvée et restaurée par l'adjudant-chef Régis Picot.

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